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Infosmania

14 juillet 2009

Un autre moi

Chacun sait que personne n'est parfait. Vous et moi avons tous nos qualités,rêves, ambitions ou défauts. Peut être certains d'entre vous rêvent ils d'être quelqu'un d'autre? Si tel est le cas, vous avez sans doute un ou plusieurs complexes. Pas de panique ! Même s'il est très difficile de s'en débarrasser, il existe  de petites astuces pour apprendre à vivre avec nos complexes  ! Envie d'en savoir plus ? Alors suivez moi ! Je ne suis à l'évidence pas experte en la matière mais espère vous éclairer et surtout vous rassurer !

Dis, c'est quoi un complexe ?

Un complexe est une image que l'on se fait de soi, une image fixe et ancrée dans l'esprit. Cette image est à l'évidence fausse car imaginaire et en décalage total avec la réalité mais il est très contraignant de vivre avec, très difficile de s'en détacher . Une telle image a de réelles conséquences sur la vie intérieure de la personne concernée : elle se sent "possédée" et est contrainte de vivre un vie "provisoire" . Elle manque énormément de confiance en elle, est en conflit et lutte permanents  avec elle même. Son image l'obsède, la gène . La personne fait une fixation nette sur un détail de sa vie.

Mais pourquoi moi ?

Les complexes sont malheureusement plutôt fréquents. Mais d'où viennent ils réellement ? Il n'y a aucune réponse certaine à cette question, mais soyez persuadés d'une chose : vous n'y êtes pour rien dans tout ça. Vont complexes apparaissent indépendamment de votre volonté. Inutile de vous culpabiliser ! Les complexes pourraient être causés par un manque de soutien affectif, un événement psychologique déclencheur ou un "choc le plus souvent " survenu au cours de l'enfance ou de l'adolescence  mais parfois plus tardivement. Pour les complexes physiques, il ne faut pas non plus négliger l'influence négative des médias qui ne cessent de véhiculer une image excessive de la  perfection esthétique.   

Un complexe, mais lequel ?

Les complexes peuvent se classer en différentes catégories.  Il y a d'abord les complexes dits physiques  : notre apparence ne nous plait pas, on se trouve laid physiquement. Ces complexes se réfèrent souvent à une partie du corps bien précise ou un état général ( nez, fesses, poids.... ) Il y a ensuite les complexes dits sociaux.On se sent mal avec les autres, non intégrés , mal à l'aise ..... On trouve également des complexes psychiques . On se fait des "films" ou est poursuivie par un principe imaginaire, une idée noire ou à connotations négatives .  Un complexe peut  être compensé ou non suivant que son titulaire en a conscience ou non et a développé ou non une "stratégie" pour y faire face. Il peut être stéréotype ; la personne répète souvent une même phrase simple et se construit à partir de celle ci de petits scénarios qui tournent en boucle dans sa tête. Un complexe peut être intempestif c'est à dire se développer progressivement et à différents degrés.

Il faut faire avec !

être soi
Mieux vaut s'accepter telle que l'on est ! Il est totalement inutile et même fortement déconseillé de se comparer à autrui  voire même a une star que l'on trouve parfaite. La perfection n'existe pas. On est tous dotés de défauts et qualités, le tout est de les connaître, les faire souligner pour les accepter et ne pas se sentir à l'écart. Il  faut être réaliste.

Communiquer

Comme dans bien des situations, il est important de communiquer et de ne pas hésiter à mettre des mots sur ce que l'on pense ou ressent au plus profond de soi. Cela aide à mieux se comprendre pour éventuellement développer une compensation ou s'ouvrir de nouvelles perspectives.

Choisir son entourage

Il nous est à tous et toutes possible de choisir nos fréquentations après avoir appris à connaître les uns et les autres , alors profitez en ! Parlez avec de bons amis, appuyez vous sur des personnes sûres et en qui vous avez confiance. Vous accepterez mieux leurs conseils et vous sentirez bien avec elles. De plus, même si elles ne sont pas objectives, elles sauront souligner vos efforts ou qualités diverses, voire même vous aider à en prendre conscience.Et même si on ne choisit pas sa famille, soyez sélectifs et ne dites pas n'importe quoi à n'importe qui !

Accepter l'échec

Même si un échec ne fait jamais plaisir, sachez l'accepter après l'avoir "digéré" pour en tirer profit. En effet, les ratés ont du bon ! Les erreurs compriss ne soes ne doivent plus être reproduites . Avec l'échec, vous apprenez sur vous même et vous avancer toujours plus loin. D'où l'importance de ne pas agir dans la précipitation .

Les félicitations

Il nous arrive à tous et toutes efforts à tant de nous tromper, mais aussi de progresser. Si personne ne souligne vos progrès ou efforts à temps, sachez vous même les reconnaître et les souligner. C'est bon pour le moral, mais attention les chevilles !

Faire le point

Il est important de ne pas culpabiliser ni tsout associer à nos complexes. Nous ne sommes pas seuls ici bas ! Encore une fois, restez ouverts aux autres et pensez à faire le vide, vous poser pour réfléchir sans pour autant vous torturer l'esprit .

Le recul, un élément majeur

Toute personne que vous jugez fiable doit pouvoir vous aider et conseiller. Mais tout le monde ne trouve pas forcément les mots justes pour rassure et chacun de nous est plus ou moins patient et à l'écoute. De plus, la relation entretenue avec une personne donnée peut "tuer" le recul ( manque d'objectivité ) . Dans les cas les plus extrêmes,  l'aide d' un psychologue o autre spécialiste peut s'avérer utile.

Se démarquer s êtes capab
On a tous des atouts que l'on ignore peut être, voire même un talent caché ! Alors tout en surveillant vos chevilles, sachez ne négliger aucun détail pour vous mettre en valeur ! Montrez ce dont vous êtes capables, exploitez vos points forts et transformez vos défauts ! La timidité peut par exemple être signe de respect et la sensibilité excessive de sincérité ! Cherchez bien, vous allez trouver !

La vie est une aventure quotidienne !

Chacun d'entre nous sait qu'il ne fait que de passer sur Terre. Raison de plus pour vivre sa vie et ne rien regretter ! Lancez vous ! Sachez écouter votre cœur et satisfaire vos envies tout en restant raisonnable ! Oui, la vie n'est qu'une succession  d'expériences ! Et quand bien même elles sont négatives, sachez relativiser et voir le bon côté des choses !

Quelques exemples de complexes

- Le complexe de Peter Pan : on refuse de grandir. On est emprisonnés dans un monde enfantin .

- Le complexe de Cendrillon  : les femmes croient ne pas être acceptées en tant que telles .

- Le complexe d'oeudipe : notre père nous répugne mais notre mère nous attire tellement ....

- Le complexe d'infériorité ou de supériorité : on se sent continuellement supérieur ou  inférieur à autrui et ce à tous points de vue

- Le complexe de culpabilité : on ne cesse de se remettre en cause en se croyant coupable de toutes sortes de situations. 

- Le complexe d'insécurité : on angoisse continuellement, ne sentant jamais totalement en sécurité. On appréhende la mort en cherchant à la défier . On peut aussi sous estimer le danger, celui ci nous étant trop familier. Cela peut s'accompagner de graves troubles psychologiques. On cherche sans cesse à tout contrôler et tout prévoir.

- Le complexe de castration : la personne s'exprime très difficilement dans sa vie affective.

- Le complexe d'abandon  : la personne ne se sent pas aimée mais au contraire rejetée. Elle cherche sans cesse l'amour ou l'affection au risque de tout perdre. Pour se défendre, elle niera toute preuve d'affection alors que c'est ce qu'elle souhaite par dessus tout obtenir, n'en ayant jamais assez. Un rejet parental ou un transfert d'amour ( naissance pendant l'enfance ) peuvent être à l'origine d'un tel complexe

Et voilà , à vous de jouer ! Essayez, vous m'en direz des nouvelles ! Bonne chance !

Sources diverses dont  :

www. cgjung.net ( site de Mr Jung, psychiatre )

www.doctissimo.fr ( dossier complexes )

Marlène Devin








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14 juillet 2009

Ma pauvre planète .....

L'heure est grave !

Certains d'entre vous ne se sont rendus que très peu souvent à l'hôpital ou chez un médecin généraliste. D'autres consultent pour un oui ou pour un non. Simples râleurs chroniques ou véritables malades ? Je n'ai à l'heure actuelle aucune réponse à cette question et ne me permettrais de juger personne. Mais malades ou pas, soyez en persuadés, vous n'êtes pas les seuls ! Oui, notre planète, notre grande maison souffre actuellement d'une grave maladie : le réchauffement global o us plaît, réchauffement climatique. Les milliers de scientifiques qui se penchent ou se sont penchés sur son cas sont formels : la fin du monde va peut être sonner . Certes, cela peut vous paraître encore lointain mais si nous n'agissons pas maintenant, demain il sera trop tard. Des milliers de gens meurent de faim, de froid ou de soif . Des milliers d'espèces animales ou végétales vont être contraintes de nous quitter faute de pouvoir s'adapter à des changements trop brutaux. Les glaciers fondent, le thermostat délire, les rivières s'assèchent.... S'il vous plaît arrêtons ça !

Un message universel

Beaucoup d'artistes et de personnalités n'hésitent pas à lancer leur propre appel pour tenter de mobiliser les esprits et sauver la planète. Certains montent sur scène pour partager de jolis moments musicaux et sensibiliser l'auditoire. D'autres publient leur message en librairie ou choisissent de monter sur les planches pour l'accompagner d'une bonne dise d'humour. D'autres encore se cachent derrière leur caméra pour nous faire partager de biens belles images  que l'on aimerait voir figées à jamais ou nous conter de bien belles histoires. Mais faut il vraiment être populaire pour se  faire entendre ? Rien de moins sûr...J'ai moi même choisi de rédiger ce petit article pour vous montrer que vous et moi avons aussi notre rôle à jouer. Septiques ? Lisez plutôt !

L'union fait la force

Savez vous ce que sont les écogestes ? Ce sont de petits  gestes simples et quotidiens que chacun peut accomplir où qu'il se trouve : au travail, chez soi, en vacances ..... La listes d'exemples qui suit n'est pas exhaustive mais vous permettra de prendre conscience de certains d'entre eux, concrets et peut être salvateurs. A la maison par exemple : utilisez au maximum la lumière naturelle, ne laissez pas vos appareils électriques en veille, pensez aux pulls avant de tourner le bouton du thermostat, modérez votre chauffage. Isolez vos pièces. Privilégiez les douches aux bains et pensez à ne pas laisser l'eau couler trop longtemps. Ne faites tourner vos lave vaisselle ou lave linge qu'une fois bien remplis. Respectez le dosage de vos différents produits ménagers. Triez vos déchets, ne jetez pas systématiquement ce qui peut avoir une seconde utilité et pensez à refuser de recevoir la publicité que vous jetterez sans même la regarder. Limitez toute pollution sonore excessive ( tondeuse, sono  extérieure... ) . Dans vos jardins, favorisez la biodiversité à l'aide d'un petit point d'eau, évitez les traitements chimiques et ne détruisez jamais un nid d'oiseau même mal placé. Sur votre lieu de travail, respectez les consignes qui régissent votre secteur d'activité et ne gaspillez pas le papier. Eh oui, chaque feuille a deux faces ! Pensez également à utiliser Internet. Si vous partez en vacances, contrôlez votre véhicule, respectez les limitations de vitesse, n'oubliez pas les transports en commun ni le covoiturage. Il en est de même pour tous déplacements quotidiens. Et surtout, ne perdez pas vos bonnes habitudes ! Au supermarché, privilégiez les produits de saison et ne vous surchargez pas en plastique.

Alors, tout cela vous paraît il compliqué à mettre en œuvre ? Vous savez, le réchauffement global est bien présent mais pas incurable !  Tous ensemble on peut y arriver ! Il est encore temps ! L'union fait la force ! Survivra, survivra pas ? Cela dépend de nous ! Suite au prochain épisode !

Terre


Source : www.ecologie.gouv.fr/ Eco-citoyens-.html


Marlène Devin

23 mai 2009

Tout sauf un oral !

Même s'ils te font peur et te mettent mal à l'aise, les oraux sont au coeur de ta formation. Quelque soit ton parcours, tu ne peux pas leur échapper. Mais j'ai une bonne nouvelle : ce ne sont pas des bêtes féroces, loin de là. Il existe des moyens pour l'y présenter en toute sécurité.Ces moyens, je les connais. Si tu veux, je peux t'en dire plus ! Interessé(e) ? Alors suis moi ! Tu verras, tout se passera bien !

Bien préparer l'examen

La préparation de ton intervention est cruciale car elle te permet de ne pas perdre les moyens le jour J et de maîtriser au mieux le sujet qui t'est proposé. D'abord, tu devras selectionner les informations nécessaires, les trier et ne garder que ce qui te semble pertinent. Ainsi, au moment venu, tu éviteras de te perdre dans le détail. Ensuite, tu devras organiser tes propos et faire ce que l'on appelle un plan structuré. Ton introduction vise à éveiller l'intêret de ton auditoire. C'est la phase d'accroche. C'est à ce moment précis que tu introduis le sujet explique de quelle façon tu as choisi de le traiter. Ton développementpermet, comprenant en général trois ou quatre parties vise à  appronfondir le sujet, d'exposer le résultat de tes recherches. Tes idées devront être enchaînées de manière logique et cohérente. Ta conclusion se fera quant à elle en deux parties.Il y a d'abord le bilan de tes propos, puis l'ouverture qui permet d'ouvrir le débat, élargir le sujet. Je vais te donner deux petites astuces : pour annoncer ton plan, tu peut recourrir à un questionnement, ce qui poussera ton auditoire à t'écouter pour tyrouver la ou les réponses à la question posée. Et si le sujet à traiter ne t'est pas imposé, essaie d'en choisir un que tu traiteras avec un maximum de plasir !

Une aide précieuse : les fiches cartonées

Tu as de trés bonnes idées que tu as peur d'oublier le jour J ? Pas de panique, tes amies les fiches sont là ! Sur ces fiches cartonées que tu auras numérotées au préalable, tu ne pourras rien rédiger mais écrire des mots clés, signes ou connecteurs logiques qui te permettront de réussir tes transitions, varier ton vocabulaire , t'exprimer dans une langue soignée et minimiser les répétitions. Petit conseil : tu peux n'écrire que sur une seule face et choisir une couleur différente pour les connecteurs logiques. Cela te permettra d'y voir plus clair !

Les supoports visuels : des outils indispensables

Les supports que tu vas utiliser tout au long de ta prestation visent à rendre les choses plus concrètes, plus compréhensibles pour ton auditoire qui peut ainsi visualiser certains concepts qu'il pourrait juger trop complexes et mieux assimiler tes propos. Grâce à ces supports, ton objectif principal est atteint : tu intéresse ton public ! Ces supports sont nombreux et variés : shémas, tableaux,  graphiques, diaporamas, polycopiés, anecdotes, tableau noir ou blanc.....Comme pour les fiches, leur contenu devra servir de base et donc ne jamais être lu ou récité. Il est important de choisir le support le mieux adapté, de ne rien surcharger et donc de ne présenter qu'une idée à la fois. Un diaporama contriendra peu de texte et garantira de bons contrastes. Les couleurs sont généralement au nombre de trois. Tout texte devra être lisible et tout titere écrit en gros caractères. Enfin, il te faudra dans tous les cas faire des pauses pour expliciter le contenu des documents que tu choisis d'utiliser. Sans cela, ton auditoire peut perdre le fil de ta présentation.

Travailler à plusieurs

dans le cadre d'une présentation de groupe, il est important de bien se répartir la parole. Je te conseille pour cela d'appliquer la stratégie ping pong. Dans tous les cas, il te faudra t'entrainer plusieurs fois avant le  jour J. Tu devras te préparer à intéragir avec ton éventuel partenaire, anticiper les questions posées, les intérférences possibles et également respecter le temps qui t'est imparti.

Va,ncre tes ennemis

S'approprier les lieux

Pour te sentir à l'aise le jour J, il est important pour toi de ne pas découvrir la salle dans laquelle tu exposes. Assure toi que tout le matériel fonctionne, aère la pièce pour faire face aux mauvaises odeurs ou grosses chaleurs, gère ton espace ainsi que la luminosité pour une bonne lecture de tes documents qui seront en constante relation avectes propos.

Au secours, la pression monte !

Tu as souvent le trac ou supportes mal la pression ? La veille de ta prestation, pense à bien manger et bien dormir ( au moins 8h ). Avant d'intervenir, essaie de prendre l'air, te relaxer et bien respirer. Au cours de ta prestation, si tu es un peu perdu (e ), souviens toi de la structure de ton exposé et n'oublie jamais ce qui suit : l'enseignant ne n'évalue pas uniquement cette prestation mais également ta paerticipation et ton assiduité au cours, sans oublier ton travail anuel. De plus, tu maitrises ton sujet que d'autres n'ont pas eu l'occasion de traiter  et controles donc la situation pendant quelques minutes. Mais gare à la vantardise ! Petit avantage supplémentaire : certains enseignants peuvent parfois communiquer par avance leur grille d'évaluation . Dans ce cas, il ne peuvent donc plus vraiment te tendre de pièges. Plutôt pas mal, non ?

Premier prédateur : ta voix

Pour te faire comprendre à coup sûr et maintenir ton auditoire attentif, il te faudra parler ni trop bas ni trop fort, ni trop lentement ni trop rapidement. Ton débit devra être régulier et ton intonation variée. Si tu peux, évite de trembler et essaie de te montrer entousiaste ! Enfin, chasse tes tics verbaux du type euh, ben, donc.....

Ennemi numéro deux : ton regard

Tu ne devras suivre personne des yeux mais au contraire veiller à ce que tout le monde se sente concerné par ce que tu dis. Il te faudra donc constamment balayer la salle du regard sans jamais stopper net sur celui de quelqu'un en particulier. Et surtout, ne lève jamais les yeux au ciel et tâche de les maintenir ouverts!

Troisième adversaire : ton aparence

Tu ne devras paraître ni trop zen ni trop strict (e) . Si tu veux, tu peux la jouer sobre ! Tu as le droit d'accesoiriser ta tenue mais sans rien surcharger. Gare en breloques inutiles ! Tache de ne pas pas paraître provaocatrice et de choisir une tenue qui te révèle, te met en valeur. Si tu ne sais pas vraiment qui tu es, ta che de te créer un personnage le temps de quelques minutes. Il est d'ailleurs conseillé de mettre un tailleur et de ne pas oublier la touche de couleur, surtout si tu portes du noir. Petit plus : il paraît que le parme est la couleur phare de la communication !

Derniers éléments perturbateurs : tes gestes et déplacements

Tu ne dois ni faire les cents pas ni rester statique. Tu ne dois jamais boucher la vue de ton auditoire. Limite tes tics gestuels ( se toucher les cheveux... ) Position idéale : le centre de la salle. Tes gestes ne doivent pas être répétitifs ni continus. Tu dois au contraire les contrôler et les choisir pour ne les employer que dans un but précis ( énumération, insistance, démonstration..... )

Voilà, je pense t'avoir tout dit et donc donné toutes les cartes ! A toi de jouer ! Dis moi, as tu déjà passé des oraux? Pour toi, examen rime avec stress ou décontraction ?

Source : petit pot pourri des cours de langue orale et communication professionelle dispensés en M1 Langues Etrangères et Outils Modernes de la Traduction  ( Université Paul Verlaine, Metz )

Marlène Devin Image_r_flexion_1

21 mai 2009

Petits Princes

En juillet 2007, grâce à la générosité de mes parents, j'ai pu réaliser mon rêve et passer deux magnifiques semaines en Espagne, à Barcelone plus exactement. J'ai pris beaucoup de photos, j'ai découvert une culture, rencontré des gens formidables et fait d'énormes progrès en espagnol, langue que j'étudie depuis maintenant sept ans. Grâce à ce rêve réalisé, je pense avoir beaucoup appris et pouvoir devenir une traductrice compétente. Chose plus importante encore : j'ai vécu une expérience inoubliable, j'ai des souvenirs plein la tête et le coeur. Je serais prête à repartir ! Je suis handicapée et j'ai eu la chance de réaliser mon rêve. Malheureusement, nombreux sont les enfants malades qui ne peuvent ou ne pourront peut être jamais réaliser le leur. Par le biais de cet article, j'aimerais vous faire découvrir une association pour laquelle j'ai eu un coup de coeur : l'Association Petits Princes qui réalise les rêves d'enfants et adolescents confrontés à la maladie.

Des objectifs, mais lesquels ?

L'association Petits Princes a trois objectifs majeurs : réaliser les rêves d'enfants malades, accompagner ses enfants tout au long de leur maladie en réalisant un premier rêves ou même plusieurs. C'est l'évolution de la maladie et de ses traitements qui aide le personel à prendre ses décisions.  mais aussi soutenir leurs familles. En effet, une maladie est un ennemi tout aussi difficile à combattre pour l'enfant que pour son entourage. C'est pourquoi les membres de l'association restent disponible et à l'écoute de ceux qui en ont besoin. Grâce à une telle association, l'enfant trouve  la force de lutter contre sa méchante maladie et les familles ont l'espoir de le voir évoluer, guérir ou dans le pire des cas mourir heureux. Pas mal non ?

Oh là là, ça fait du monde tout ça !

Vous vous en dourez sûrement : la réalisation de tous ces jolis rêves mobilise beaucoup de monde ! Trois équipes composées de bénévoles, médecins etspécialistes travaillent pour les Petits Princes. Il y a l'équipe rêves et hopitaux, l'équipe administration et l'équipe communication. Tous ces gens sont disposés à mettre de petites étoiles dans les yeux des petits bambins !

Comment ça marche ?

Pour que votre enfant puisse réaliser son rêve, il faut qu'il ou elle ait un âge compris entre trois et dix huit ans, souffre de pathologies necéssitant des traitements lourds et à longue durée. De plus, il faut que cet enfant formule lui même sa demande : maman, je voudrais tant....Si votre enfant répond à ces critères d'admission, vous pouvez prendre contact avec l'association qui vous enverra un dossier et statuera sur la prise en charge ou non de la réalisation d'un premier rêve de votre enfant. Dans le cas d'une réponse positif, un budjet prévisionel sera établi, on solicitera des partenaires et sponsors et vous devrez bien evidemment  souscrire  une assuerance. Bien sûr, l'anonymat de l'enfant sera gardé et le secret médical respevcté. On ne mentionera que son âge, son prénom et son rêve pour un éventuel témoignage.  Si sa maladie le lui permet, l'enfant pourra ensuite être suivi à long terme et réaliser un ou d'autres rêves.

Bon à savoir

- 1 semaine à un an : c'est le temps que peut nécessiter la réalisation d'un rêve  Aujourd'hui, un rêve est réalisé tous les deux jours !

- 22 ans : c'estr lâge de l'association Petits Princes, crée en 1987

- Plus de 1000 : c'est le nombre d'enfants que l'association a pu rendre heureux à ce jour

-3000 : c'est le nombre de rêves réalisés à ce jour

La preuve en images

Emilie, 9 ans, rêve de monter à cheval. En route pour l'hyppodrome de Deauville ! Mission accomplie, regardez plutôt !

http://www.petitsprinces.com/reves/reve-20.html

Et pourquoi pas vous ?

Slogan de l'association : Tous les enfants ont un don, certains attendent le vôtre....En effet, vous pouvez faire un don, devenir partenaire ou bénévole pour vous aussi, à votre manière, faitre briller les yeux d'enfants qui ne demandent pas mieux ! Voici ci dessous les coordonées de l'association Petits Princes  :

Association Petits Princes 15, Rue Sarrette 75014 Paris

Telephone : 01 43 35 49 00

Fax : 01  40 47 60 97

Mail : mail@petitsprinces.com

Et vous, votre enfant a t'il des rêves ou ambitions ? Avez vous mvous même eu envie ou eu la possibilité de réaliser le vôtre? Exprimez vous !

Source : http://www.petitsprinces.com/accueil.html

Marlène Devin

14 mai 2009

Les petites fourmis

Détrompez vous !

Pour faire carrière dans la traduction, il n'est pas obligatoire d'être titulaire d'une licence en Langues Etrangères Appliquées. Néamoins, l'anglais étant depuis longtemps considéré comme la langue internationale de référence, il devient necessaire de maitriser cette langue avec éventuellement une langue complémentaire ou plus.De nombreux traducteurs exercent leur profession comme profession secondaire.  Nombreux sont ceux d'entre vous qui pensent que la traduction est une question de mots, d'équivalence. Non, les traducteurs ne sont pas de vulgaires robots qui exécutent de simples transferts de sens mais de véritables petites fourmis qui effectuent un travail passionant et de trés longue haleine. En effet, les traducteurs sont constamment ammenés à se documenter, se cultiver. Et croyez moi, ce n'est pas de tout repos ! A vrai dire, la traduction se pratique au qutidien et peut être considéree comme un état d'esprit à part entière puisque cette discipline en regroupe beaucoup d'autres. Moi même étudiante en M1 de traduction, je suis passionée par ce métier auquel j'aspire depuis maintenant bientôt huit ans. Par le biais de cet article, j'ai choisi de partager cette belle passion avec vous tous. Intéressés ? Lisez plutôt !

La traduction, c'est quoi ?

On distingue la traduction qui consiste à produire des textes écrits de l'interprétation ( ou interprétariat selon les versions ) qui vise à restituer oralement des propos délivrés dans une langue étrangère donnée et devant être compris par un interlocuteur qui ne maitrise pas cette même langue. Les interprètes sont le plus souvent payés à la journée avec remboursement des frais de déplacement.  Ces professionels de la langue orale distinguent quatre grands types de prestations de services. Il y a tout d'abord l'interprétation simultanée qui consiste à restituer directement sur la voix d'un interlocuteur donné et ce dans une cabine à l'aide de casques. L'interprétation consécutive consiste à prendre des notes dans une des deux langues concernées pour ensuite aller restituer devant son auditoire les propos précedemment délivrés. L'interprétation de liaison se pratique le plus souvent sur place ( à l'étranger ). L'interprète intervient dans le but de débloquer une situation de communication difficile et permettre aux différents interlocuteurs de se faire comprendre. Autrement dit, on fait la liaison permanente entre l'un et l'autre des interlocuteurs. Enfin, le chuchoté consisite à restituer oralement à l'oreille de son client des propos. Contrairement à leurs collègues interprètes, les traducteurs touchent un salaire excessivement bas et sont le plus souvent rémunérés au mot, à la ligne ou à la page. Le salaire peut légèrement varier en fonction du type de document et du vocabulaire employé. C'est le plus souvent la passion et le plaisir qui incitent les traducteurs à faire face à si peu de reconnaissance. On distingue de multiples types de traduction  : littéraire, technique, juridique, scientifique, médicale, générale, publicitaire ou de communication... De même on distingue différents statuts : traducteur débutant, expérimenté, général, spécialisé ou expert. Ce statut a bien sûr une influence sur la rémunération de son titulaire. Le client perçoit une traduction comme un texte fixe, un produit fini et élaboré qui vise à répondre à une demande, satisfaire cetrtains besoins. Pour lui, il s'agit d'un outil porteur d'information et ayant une certaine valeur, utilité. C'est pourquoi des délais doivent être rsspectés, délais au dela desquels le produit perd à la fois cette valeur et cette utilité.  Le traducteur a pour mission de produire un texte qui représente la solution aux problèmes rencontrés par son client, un moyen de faire passer divers messages. Pour cela, il met l'intégralité de ses connaissances ainsi que toute son expérience au service de ses clients, clients envers lesquels il se doit dêtre fidèle en termes de délais, de coût et de contenu et aux yeux desquels il se doit d'être crédible.

Un gros bagage : l'expérience

Nombreux sont ceux et celles qui prétendent pouvoir basculer d'une langue à l'autre et ainsi produire un texte, mais bon nombre de textes restent aproximatifs. Un traducteur dit expérimenté basculera certes d'une langue à unne autre sans la moindre difficulté, sera doté de nombreux automatismes. Mais ce n'est pas tout, cela ne suffit pas. Un traducteur expérimenté faait confiance à son instinct de façon régulière, à sa mémoire. Il sait admettre son ignorance et sa non expertise. Il sait reconnaitre ses limites et erreurs pour le plus souvent en tirer profit. Il garde un oeuil critique sur ses productions qu'il sait enrichir de son vécu, de ses expériences personelles. Il sait trier les informations dont il dispose, les selectioner, faire des choix, trouver les bonnes solutions qui résolvent les bons problèmes. Dans certains cas, s'il ne peut trouver de traduction exacte, il devra compenser pour être sur de ne laisser aucun blanc. Ainsi, il a la sensation de controler la situation, même si une langue est en perpétuelle évolution. Enfin, il sait se projeter dans un univers professionel donné afin de rendre la traduction la plus plausible qui soit.

La mémoire, notre meilleure amie

Dans cette profession , la mémoire a un rôle primordial à jouer. Sans elle, le traducteur n'a aucune chance de percer et encore moins de durer. C'est pourquoi il est important que chaque traducteur ou interprète  connaisse le mode de fonctionement de sa mémoire pour pouvoir l'employer au mieux. On a tous une mémoire procédurale : cetre mémoire, à force de pratique et de persévérance, reproduit de facon automatique nos gestes et mouvements les plus fréquents. C'est notre inconscient qui agit. Notre mémoire représentative selectionne les faits et évènements pour les stocker. Notre mémoire intellectuelle remplit ce même rôle et contraste avec notre mémoire émotionelle qui nous rapelle certains effets, certaines émotions, sensations. Certains d'entre nous attachent plus d'importance au contenu de l'information mémorisée qu'au contexte dans lequel celle ci est délivrée ou que l'auteur du message, et vice versa. De plus, nous sommes dépendants, indépendants ou interdépendants. En effet, certains d'entre nous prèfèrent travailler seuls, d'autres en binome ou en équipe et pour d'autres encore, cela leur est indifféerent. Nous sommes dotés de diverses intelligences, plus ou moins dévelopées : intelligence musicale, logique, linguistique, corporelle, spatiale, émotionelle, le bon sens et enfin le fameux QI. Certains d'entre nous ont une mémoire plutot globale, d'autres plus détaillée. Certains s'attachent au concret et d'autres à la théorie. Certains ont une mémoire linéaire et doivent sans cesse préparer et analyser les écrits à l'aide d'ouvrages de référence  pour être surs d'en garder une trace à long terme. Certains d'entre nous osent se lancer et apprendre par eux mêmes : ils sont autodidactes et expérimentaux contrairement à leurs camarades qui eux ont une mémoire reflexive, c'est à dire le besoin de se faire conseiller et de se baser sur leur passé ou sur l'anticipation de l'avenir. Certains d'entre nous fonctionnent par paires.  Certains d'entre nous ont une mémoire visuelle qui les incite à utiliser dessins, shémas et diagrammes divers ou à créer leur prpre image mentale pour se rappeler quelque chose alors que d'autres ont une mémoire auditive et retiennent des voix, des sons, un rythme, une intonation, des commentaires. Il peut leur arriver de "réver le jour".  et ils éprouvent souvent le besoin d'écouter maintes et maintes fois quelque chose, de parler à voix haute ou encore de reformuler quelque chose à l'aide de leurs proopres mots pour ensuite tirer leurs conclusions. D'autre ont une mémoire kinesthétique qui leur rappelle une expérience ou des sensations. Ils ont souvent besoin de toucher les choses et ont du mal à mettre des mots sur leurs sentiments ou impressions. Enfin, pour mémoriser plus facilement une information, il est tout de même conseillé de la rencontrer sous différentes formes ( lecture, visionage, touché, écoute.. ). Cela s'appelle le multicodage.  Et vous, comment fonctionne votre mémoire ?

La traduction a une dimension culturelle et sociétale

Comme je l'ai dit plus haut, la traduction se pratique au quotidien et consttue un travail à trés long terme. La traduction représente la libre circulation de pensées, opinions, idées et informations. Le traducteur est donc un maillon important dans le processus de communication. Il est tenu de rester dans l'action, il dépend d'autrui. Il doit apprendre de l'autre et s'ouvrir à lui. Il doit puiser dans le passé, vivre le présent et anticiper le futur. Il doit étudier une langue et sa culture, ses pays. Il doit être en totale immersion et s'exposer trés souvent à cette langue : son histoire, son parlé, sa religion...C'est pourquoi il doit être mobile et beaucoup voyager ( surtout les interprètes ) ou du moins se renseigner, se cultiver. En effet, le traducteur doit intégrer différents contextes : familial, laboral, scolaire... à différentes échelles : locale, nationale, internationale...Il ne doit jamais se fier à ses premières impressions et dire non aux stéréotypes ou a prioris.  En d'autres termes, le traducteur doit se comporter telle une éponge qui absorbe tout ce qui est en son pouvoir pour pouvoir ensuite prétendre se projeter dans un maximum d'univers. Surtout s'il s'agit d'un traducteur général ! En bref, il faut lire, voir et faire de tout ! Il faut avoir l'euil et les oreilles grands ouverts!

La traduction a une dimension  linguistique et stylistique

Le traducteur doit maitriser à la perfection sa langue maternelle et le mieux possible ses langues de travail. En effet, ses textes ou propos doivent couler de source. Il doit faire passer le message, viser son public et produire l'unique effet recherché. Pour cela, il doit bien choisir son vocabulaire et bien formuler ses phrases Pour cela, il doit avant tout comprendre et analyser son document de base. Il doit cherrcher le but visé, les besoins de l'auteur, son intention. Tout cela peut parfois etre implicite. Il y en a des noeuds à déméler ! Pour exercer sa profession décement, il dispose de divers outils : dictionaires bilingues et unilingues, bases de données, logiciels, autres traductions, conseils de professionels, son vécu, les grammaires et autres ouvrages., ses relations... Il faut tout de même savoir s'adresser à la bonne personne ! Dans les faits, le métier de traducteur en comprend bien d'autres dont ceux de rédacteur et de relecteur. Quel travail !

Et pourquoi pas vous ?

Les traducteurs sont certes nombreux et plus ou moins compétents, mais à votre avis, qui sont ils réellement ? Eh bien les traducteurs sont des gens relativement disponibles. Ils ont le contact facile, sont plutôt ouverts et à l'écoute de l'autre . Ce sont des gens  plutôt sensibles et émotifs qui ont un perpétuel besoin  de reconaissance et de considération. En effet, ils apprécieront que l'on ait conscience de la valeur de leur travail. C'est pourquoi ils attachent bien plus d'importance à leurs productions qu'à leurs bas salaires. Ils ont une certaine rigeur dans leur travail, sont plutôt prévoyants et perfectionistes mais il n'est pas rare qu'ils pratiquent la double tâche en ayant par exemple entammé la lecture de plusieurs ouvrages à la fois. Ils lisent et voyagent beaucoup. Ils ont une culture généerale relativement étendue et  un imaginaire développé, recherchent sans cesse à en savoir plus, à se cultiver d'avantage. Se sont des éternels insatisfaits. Ils sont relativement stressés et aiment se remettre en cause. Ils ont raison bienqu'ils devraient relativiser . Une traduction n'est en effet jamais parfaite et une première bouture n'est jamais définitive. Ils sont en majorité interessés voir passionés  par l'art, sous quelque forme que se soit. Parfois, on les accuse de vivre sur une autre planète. Enfin, la majeure partie de ses professionels sont de nature battante, persévérante et tétue. En effet, ils sont trés motivés et capables de s'atteler pendant des heures à un même travail sans jamais se lasser. Ils ont un grand sens du sacrifice et beaucoup de mental. Ils s'investissent énormément et prennent un énorme plaisir à exercer, plaisir qui le plus souvent prime sur le reste. Enfin, ces gens assimilent souvent leurs productions à de véritables performances, défis à relever. Ils aiment se surpasser pour atteindre leurs objectifs et fuient la solution de facilité. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? A vous de me le dire  !

Une remarque, un commentaire, une question à poser ? Qui sait, peut être êtes vous l'un des traducteurs de demain qui vient tout juste de se trouver une vocation ! La parole est à vous !

Sources : Cours dispensés en M1 Langues Etrangères et Outils Modernes de la Traduction à l'université Paul Verlaine de Metz ( 57 )  et livre de Douglas Robinson  : Becoming a Translator ( ouvrage anglais synthétique sur la traduction )

Marlène Devin

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3 avril 2009

Les mystères de la Dépression

Non aux idées reçues !

Contrairement à ce que l'on pense souvent, la dépression n'est pas un simple coup de blues mais une véritble maladie qui est suceptible de frapper chacun d'entre nous. C'est pourquoi cette maladie et l'ensemble des personnes qui en sont atteintes doivent être aidées et prises au sérieux. Cette maladie ne doit en aucun cas être confondue avec sa compatriote la déprime qui est loin d'être aussi méchante et dangereuse. Il est préférable qu'une dépression soit dignostiquée et traitée dans les meilleurs délais mais les personnes atteintes de ce mal être profond et permanent ont souvent honte de leur situation, honte de soliciter l'aide de leurs proches et surout peur de ne jamais s'en sortir.Mais il n'est jamais trop tard pour réagir ! Eh oui, la dépression est une maladie bien plus difficile à admettre et surtout bien plus compexe qu'on ne le pense. Mais rassurez vous ! Si la dépression est certes bien compliquée à comprendre, elle n'est pas une fatalité ! En effet, à l'aide de ses proches et la mise en place d'un traitement adapté, le patient peut voir disparaitre l'intégralité de ses symptomes et prévenir leur réaparition ! Mais il faudra bien sûr que ce patient en question fasse preuve de volonté et d'engagement tout au long de son traitement. Eh non, on ne change pas une équipe qui gagne! Alors pour mieux comprendre qui est cette méchante dépression ainsi que le fonctionnement de ce trio de choc, lisez plutôt !

Une Dépression, oui mais pourquoi ?

On évoque le plus souvent des causes externes telles que des problèmes financiers ou tout autre évènement qui nous empècherait de voir clair dans nos vies. Une fois cela passé, tout reviendrait à la normale. Certains se disent que tout cela n'est  que passager et plutôt banal.Certains évoquent aussi des causes internes et s'accusent directement en prétendant n'être capables de rien, avoir commis de trop nombreuses erreurs et être les seuls et uniques responsables de leur situation. Mais Dieu merci, ils ont tort de réagir ainsi. En effet, si la dépression ne frappe certes pas sans raison aparente, elle ne vient pas punir les malades pour autant. Les personnes frappées par cette maladie le sont malgré elles et n'ont pas fait tout le mal qu'elles osent décrire. Une dépression peut frapper une personne a risques. Je veux ici faire alusion aux personnes sociotropes ( besoin de soutien permanent ) qui se sentiraient mises à l'écart trop brutalement ou au contraire les personnes autonomes ayant pour but principal d'atteindre par elles mêmes les objectifs qu'elles se sont fixé et qui soudain se sentiraient critiquées ou dévalorisées. Une dépression peut être déclenchée par un facteur précipitant tel qu'un décès, une maternité difficile à gérer, un traumatisme passé ou récent ou tout autre évènement désagréable et difficile à vivre. Les causes de la dépression peuvent parfois être de nature biologique. En effet, notre organisme peut avoir besoin d'aide et les neurotransmeteurs de notre cerveau peuvent souffrir. Mais inutile de prendre peur, tout est réparable ! Une dépression peut également avoir des origines sociales, génétiques ou psychologiques.En effet, l'environnement familial peut avoir un rôle à jouer, en particulier si une pesonne est au chômage ou issue d'une famille peu aisée. Tout peut provenir de l'éducation reçue par une pesonne donnée qui peut parfois avoir du mal à s'affirmer et trouver sa place au sein du foyer familial. D'autre part, une personne de nature angoissée ou stressée peut plus facilement se laisser envahir par ses sentiments qu'elle juge trop durs à gérer.Une personne qui manque de confiance en elle peut être sujette à de gros coups de blues ou à une dépression. Mais commment et pourquoi aller contre nature ? Enfin, avoir un parent ou un proche direct dépressif augmente le risque de dépression. Mais il faut se rappeler que nos proches ne sont atteints que malgré eux. Alos inutile de les accuser ! Quoi qu'il en soit, l'amour a sa place !

Une Dépression, oui mais laquelle?

Comme je l'ai dit plus haut, la dépression touche toutes les générations. Elle peut se manifester sous différentes formes. Elle aparaît souvent de façon dicrète et si elle n'est pas traitée aura tendance à s'installer dans le temps et à s'agraver. Cette maladie peut être chronique ou saisonière et n'aparaître qu'à une période donnée de l'année. Elle peut être légère ou majeure, psychotique ou agitée.En effet, la personne peut être sujette à de fréquentes crises d'angoisse ou de panique ou encore à des délires tels que des idées de condamnation, de folie....Elle peut également être masquée ou hostile.La personne atteinte peut devenir agressive ou avoir des purs inexpliquees sans qu'aucun symptome ne soit présent. Mais on peut aussi conaîre d'autres situations sans pour autant être dépressif . Je veux ici parler de la mélancolie ou aux troubles bipolaires ( alternance d'histérie et de tristesse profonde ) par exemple.

Des signes qui ne trompent pas

Les signes précursseurs de la dépression sont nombreux et variés. Une même personne ne peut ps tous les ressentir mais ils ne nous trompent jamais. Chaque cas est unique.Si vous ou l'un de vos proches ressentez au moins quatre des symptômes que je vais énumérer ci-dessous pendant une durée supérieure à quinze jours,quasiment chaque jour et toute la journée,  il est fort probable que l'on puisse parler de dépression.Voici les symptômes principaux :

- culpabilité

- gène et ralentissement dans la réalisation de taches quotidiennes

- tristese, désepoir, angoisse profonde et permanentes

- regard vide , visage inexpresif

- sentiment de découragement, d'inutilité, d'incapacité, manque d'énergie et de force

- perte d'intêret pour ce qu'on l'on aimait habituellement

crises de larmes et colères inexpliquées, dramatisation des situations

- idées noires et pensées négatives

- peur de l'avenir, absence de projection et de projets

- doluleur et signes physiques ( maux de tete, de dos, démangaisons, boules dans le ventre ....)

- sous estime de soi, manque de confiance marqué

- prise ou perte de poids importantes

- insufisance ou exces de sommeil

- dérèglements organiques ( hormones, digestion et apétit perturbées )

- dépendances ( tabac, alcool, drogues ) parfois agravantes

- fatigue permanente

- difficultés d'attention, de concentration, de réflexion, de mémoire....

- vie sexuelle perturbée

S'en sortir, oui mais comment ?

Pour pouvoir s'en sortir, il est important que la personne manifeste son désir d'aller de l'avant. Car si une véritable relation de confiance s'établit, si un vraie colaboration nait entre la personne touchée, son entourage et son practicien, la dépression n'a qu'à bien se tenir ! Car le recours à la psychothérapie est bel et bien indispensable. La psychothérapie est complémentaire aux efforts fournis par le patient et au soutien que lui apporte son entourage. Les trois parties forment une équipe soudée. Il existe un traitement adapté à chaque patient.Dans la mesure où le traitement vise à voir des changements durables chez les patients, il est toujours pertinent et efficace.Toutefois, le patient devra se remettre en cause, faire face à des périodes dites de doute, de stagnation ou de rechute. La psychothérapie est un traitment à long terme. Le professionel va aider son patient à voir la vie autrement grace au recul que n'auront pas forcément ses proches, à réduire, gérer ou prévenir les symptomes de la maladie, à se poser les bonnes questions, à mieux réfléchir, à ouvrir des portes, débloquer la situation. Les entretiens sont privés et les professionels sont soummis au secret médical. Le nombre et le rythme des séances se définit en fonction des besoins du patient, de sa situation. Un entretien dure entre trente et soixante minutes. Il est basé sur l'échange, la libre expression, la formulation.Pour se mettre à l'aise et assurer le bon déroulement des séances, il est bien sur conseillé de se renseigner sur les modalités de traitement( éventuelles absences, étapes...) Si les sances se déroulent en établissements publics ( CMP, CAC, hôpital de jour ), elles sont prises en charge par la sécurité sociale. Les psychiatres remboursent dans certains cas, mais pas ls psychologues. Le mieux est de s'adresser directement à son médecin généraliste pour lui décrire la situation. Il saura diagnostiquer la maladie et orienter son patient vers le traitement le plus adapté. Les médicaments, quant à eux, ne sont pas automatiques ! Et dans certains cas, un arrêt temporaire de travail ou un mi-temps thérapeutique peut être envisagé. Tout problème a donc sa solution !

Une douleur partagée

La dépression est trés dure à vivre, tant pour la personne concernée que pour son entourage qui n'aspire qu'à une seule chose : soulager son proche. Comme vous avez pu le constater, le rôle de l'entouage familial et amical d'une personne triste, mal dans sa peau, déprimée ou dépressive ne doit pas être sous estimé. Que la maladie soit diagnostiquée ou non, présente ou non, reconue ou non, nous pouvons tous et toutes pariciper ! On peut aider un proche à repérer les signes précursseurs de la maladie ou à prendre conscience de ses problèmes, à consulter ou à suivre un traitement.Il est important de tenter de comprendre son proche, de l'écouter, de lui permettre de parler et d'exprimer sa souffrance sans jamais le brusquer : il pourrait se croire délaissé, pas pris au sérieux.Il est important d'être présent pour son proche, de trouver sa place et de garder la bonne distance : il ne faut pas infantiliser ou étouffer son proche.Il est important de prendre soin de soi afin de rester efficace dans son soutien mais également de rester positif et montrer que tout va bien. Autrement dit, il faut continuer à vivre normalement. Toutefois, il faut veilller à être franc avec son proche, ne rien lui cacher de trop important sans quoi il se sentirait trahi.Il ne faut pas culpabiliser, se rappeler que l'on fait partie d'une équipe.Il est capital de valoriser son proche, de le rassurer. Pour cela, essayez si possible de partager certains projets ou certaines activités aristiques, physiques ou autres avec lui ou elle. Ces activités l'aideront à gagner en confiance et à prendre conscience de ses points forts. Elles auront donc des vertus thérapeutiques. Attention,il ne faut jamais forcer son proche à faire quoi que ce soit.Si votre proche évoque la mort ou le désir d'un départ, de mettre de l'ordre, vous donne un objet précieux ou évoque une amélioration qui vous parait trop soudaine, prenez soin de l'écouter mais aussi de "veiller sur lui ou elle". Enfin, il est important tant pour la personne concernée que pour son entourage de maintenir les liens sociaux : passez du temps à ses côtés, présentez lui des personnes extérieures.Mais bien entendu, personne n'a les pleins pouvoirs !

La Dépression en chiffres

La dépression frappe en majorité chez les femmes. Environ 5O % ds dépressions ne sont pas diagnostiquées.De plus, 40 à 70 % des suicids commis découlent d'une dépression.En général, les personnes suicidaires ne font pas ou trés peu de tentatives. Une tentative de suicide doit donc être plutôt perçue comme un appel au secours de la part de son auteur. Que de données ! De quoi réagir au plus vite ! Si tout comme moi vous avez frolé la dépression avant de débuter une psychothérapie, si tout come moi vous voulez ou avez voulu vous en sortir, si la dépresion ne vous laisse ps indifférent, si elle vous effraie, si vous avez une quelconque remarque ou réaction à son sujet, la parole est à vous !

Vidéo : http://http://www.dailymotion.com/video/x368v0_la-depression_politics

Sources : http://infos- depression.fr  ( Site du ministère français de la santé )   et http://wikipédia.org 

Marlène Devin

27 mars 2009

Le kiné de nos yeux

Un trio de choc

Environ 80% de ce que l'on perçoit du monde extérieur dépend de la qualité de notre vision et donc de l'état de forme de nos deux yeux. C'est pourquoi il est capital de les entretenir. Pour cela, trois professionels de la santé sont à votre srvice. Il s'agit tout d'abord de l'ophtalmologiste en charge de mesurer et contrôler votre acuité visuelle pour si nécessaire vous prescrire lunettes, lentilles de contact ou traitement adapté. Il y a aussi l'opticien qui lui va exécuter les ordres de l'ophtalmologiste en vous vendant vos lunettes ou lentilles de contact et en les ajustant si besoin est. Mais contrairement à ce que l'on peut penser, vos lunetes ou lentilles de  contact ne permettent pas toujours de tout corriger. C'est pour cette raison que depuis 1938, on pratique l'orthoptie en France et ce en tant que salarié rattaché à un établissement donné, spécialiste libéral isolé, collaborateur ou remplaçant d'un practicien. L'orthoptiste, considéré comme le kiné de nos yeux  travaille sur prscription médicale et est là pour rééduquer nos yeux et nous apprendre ou réapprendre à les utiliser correctement.

L'orthoptiste spécialiste de toutes les générations

L'orthoptiste est suceptible d'aider chacun et chacune d'ente nous quelque soit notre âge et notre situation personelle. Le sytème visionaire d'un nouveau né est immature. A la naissance, le bébé ne peut percevoir que la lumière ou les mouvements de son entourage. Jusqu'à l'âge de 6ans, sa vision va se perfectioner mais au cours de sa scolarité, l'enfant pourra peut être rencontrer des difficultés de concentration et d'apprentissage. A l'âge adulte, il peut également rencontrer des difficultés de perception de couleurs et contrastes, de concentration ou d'apréhension des distances. De plus, chaque année, environ 9000 personnes meurent des suites d'un accident de la circulation le plus souvent provoqué par une vision defectueuse qui empêche d'améliorer ses performances ou sa rentabilité. Enfin,dés 4Oans, nos yeux commmencent à vieillir et notre acuité visuelle peut baisser à tout moment. C'est pourquoi une pesonne âgée peut soliciter l'aide d'un orthoptiste qui lui permettra de préserver un maximum d'autonomie. Toute personne handicapée peut si elle en éprouve le besoin se faire suivre par un orthoptiste qui l'aidera à adopter certains bons réflexes pour mieux vivre sa différence. Ces personnes sont en majorité atteintes d'un handicap moteur. Il s'agit le plus souvent d'une infirmité motrice cérébrale. C'est la grande variété des patients qui rend cete profession intéressante.

Des signes qui ne trompent pas

Si vous remarquez chez vous même ou l'un de vos proches la présence d'un des signes révélateurs que je vais énumérer ci après ou si vous vous trouvez dans une des situations que je vais évoquer, il n'y a aucun dote : vous ou votre proche devez faire appel à un orthoptiste qui effctuera un bilan orthoptique pour évaluer vos possibilités visuelles, prévenir une agravation, solutioner un problème et  établir un diagnostic   à la suite duquel le practicien adaptera votre environnement et vos outils de travail ou mettra en place pour vous une rééducation adaptée. En général, une telle rééducation nest pas bien contraignante puisqu'elle s'adapte en fonction de l'âge, du profil,  des besoins et plaintes du patient mais impose toutefois un travail srieux, à long terme et trés régulier qui doit parfois être poursuivi à domicile. De plus, pour garantir l'efficacité de la rééducation, il est capital qu'une relation de confiance s'tablisse entre l'orthoptiste et son patient. Mais croyez le bien, tout cela ne représente rien au regard des bénéfices apportés.

Signes principaux :

- rougeurs

- larmoiements

- loucherie ou strabisme

- frottements de l'oeil

- fermeture d'un oeil 

- tremblement des globes oculaires

- fatigue visuelle

- maux de tête inexpliqués

- clignement frquents des paupières

- vision double ou floue

- adaptation difficile à la lumière ou à l'obscurité

- fixation prolongée difficile ou inexistante

- difficultés de concentation

- suspiscion d'une basse vision

Situations préocupantes

- grossesse à problèmes

- naissance prématurée

- un bébé qui ne joue pas

- un enfant ou une personne qui se tient trop près de son livre ou de son écran

- Vous avez subi une intervention chirurgicale

L'othoptie en chiffres

Curieusement, 92,6% des orthoptistes sont ds femmes et 76% de ces professionels de la vision execent en libéral. Néamoins, 17 départements français comptent moins de cinq orthoptistes libéraux et on estime qu'un enfant sur sept voit mal. C'est pourquoi il est capital de se renseigner au sujet de cette profesion,  de rester vigilant, de faire psser le message autour de vous et si l'envie vous en prend de vous  renseigner sur la dite profession  pour éventuellement vous former. Eh oui, l'orthoptie recrute et est aujourd'hui en voie de disparition !

La preuve en quelques mots

Je me présente : Marlène Devin, 21ans, étudiane handicapée moteur atteinte du  syndrome de Little, une des nombreuses infirmités motrices cérbrales répertoriées et étudiante  en master de traduction à Metz ( Lorraine ). Mon handicap n'est en aucun cas une maladie et je ne suis pas condamnée. Je ne peux donc que progresser. Pour moi, se lamenter sur son sort est totalement inutile. De plus, mes parents ont essayé de me rendre la plus autonome possible en me permttant une prise en charge en kinsithérapie dés l'âge de un an et en me permettant de suivre une scolarité normale. Mes amis et mes proches ont toujours été là pour me soutenir, c'est pour cette raison que j'en suis là aujourd'hui : je marche,j'étudie pour être traductrice...Malgré ce soutien permanent, je nai pas toujours vu mon avenir en bleu. Il y a un peu plus d'un an, suite à une grosse baisse de moral et remise en question personelle, j'ai su que j'étais prête et que le moment était venu. J'ai décidé d'entreprendre une démarche autonomie et de me renseigner auprès d'un centre de réédaptation fonctionelle. Après avoir passé plusieurs bilans dont un en orthoptie, mon médecin référent, l'orthoptiste du centre et moi même avons entre autres décidé de débuter un suivi en cabinet et d'adapter par la suite mes outils de travail. Depuis ce jour, ma vie a beaucoup changé : je me sens plus femme, bien dans ma tête et mon corps, je marche vers l'avant. Sur le plan visuel, je fatigue beaucoup moins, ai retrouvé le gout de la lecture, suis beaucoup mieux intégrée en société et beaucoup plus précise dans me gestes. Il y a plein d'autres améliorations encore ! Et croyez moi, je compte aller encore plus loin et ne baisserai pas les bras de sitôt ! Battez vous, ca vaut le coup !

Et vous, avez vous une expérience similaire à la mienne? Conaissiez vous la profession d'orthoptiste ? Avez vous une critique, une réaction, une remarque à formuler? La parole est à vous !

Sources : http://www.orthoptistes.fr ( site officiel du Syndicat National Autonome des Orthoptistes )

12 mars 2009

Mangez, bougez, c'est bon pour la santé !

En janvier 2001, notre gouvernement lance le Programme National Nutrition santé pour nous inciter à manger et bouger correctement, c'est à dire vivre mieux et plust en manger au moins cinq par jour  longemps;En effet, si on mange équilbré tout en pratiquant une activité physique régulière, on se sent moins fatigués, bien dans notre corps et dans notre tête. Notre corps est une machine qu'il faut entrtenir pour lui éviter de rouiller trop vite et lui fournir les armes nécessaires pour lutter contre ses principaux enemis : les maladies, les problèmes de poids et surtout le fameux cancer. Vous allez voir, prendre soin de son corps cest facile !

L'équilibre alimentaire, cest quoi au juste ?               

Pour être en forme, notre corps à besoin de divers aliments. Il y a d'abord les fruits et légumes : il faut en manger au moins cinq par jour et ce sous n'importe quelle forme. Cuits, crus, en soupe, en purée.....Viennent ensuite les vitamines, fibres et minraux tels que le fer, le sel ou encore le calcium qui renforce notre ossature. Il ne fut pas non plus oublier les glicids ( sucres) et lipides ( graisses ). Il ne faut pas manger que des confiseries mais penser égalements aux féculents. Contrairement aux idées reçues, bien manger ne signifie pas manger de tout à part égale ! Il faut au contraire jouer avec les quantits, privilégier certains aliments pour en limitr d'autres.Mais bien manger signifie avant tout passer unbon moment et se faire plaisir : il faut varier les saveurs, couleurs et odeurs de ce qui compose nos assiettes ou remplit nos verres. Pas de panique : un petit écart occasionel n'a rien de catastrophique ! Tout le monde à un même droit : celui de profiter de la vie !

Activité physique : mode d'emploi

Bien bouger peut paraître à la fois simple et compliqué. Il est recommandé à un enfant ou adolescent de bouger au mois une heure par jour cinq fois par semaine. Chez ladulte, la norme est de trente minute. Tout ne se fait pas forcément d'une traite mais pour bouger de façon efficace, il faut tenir au mois dix minutes à chaque fois. Ce qui compte n'est pas de bouger beaucoup mais régulièrement. Et même si personne n'est parfait, il existe une solution idéale : faire de petits efforts en semaine etbs'adonner à une activité plus prenante le weekend. Notre corps doit nous obéir, mais il ne fait pas le surmener. Cest pourquoi, ormis le lite et demi deau deant être bu quotidienement par un adulte, il est recommandé de boire avant, pendant et après un effort;

Bouger ? J'ai pas envie !

Nos parents nous ont souvent dit: tas pas envie ? Fais le quand même ! Ils ont eu raison car c'est pour nous que nous agissons. Certains de vous pensent peut être que certaines activités du quotidien ne comptent pas. Mais c'est faux ! En fait, toutes nos barrières sont virtuelles. Certaines choses peuvent parâtre banales mais tout compte. Quand on veut bouger, on peut le faire ! On a toujours le temps et leds moyens de bouger, il suffit juste de sasir les occasions et d'adopter quelques bos réflexes. On peut par exemple descendre plus tôt du bus, monter et descendre souvent les escaliers, aller chercher le pain à pied....Et faire bien d'autres choses ! En cas de manque de motivation ou de peur du regard des autres, pourquoi ne pas s'y mettre à plusieurs ou tout simplemese, gym, yoga.;nt commencer par une activit néxigeant aucune tenue particulière? Vouloir trop bien faire st la meilleure façon de se décourager. Il faut se fixer des objectifs raisonables que l'on modifie en fonction e ses progrès. Ca marche ! Pour ne pas se faire de mal, mieux vaut consulter son médecin traitant. Alors, c'est parti ?

Le sport, c'est pas pour moi  !

Il y a toujours un sport adapté aux besoins de chacun, inutile de dire le contraire ! Mais avant de se lancer, il faut se connaître et savoir ce que l'on cherche réellement. Lisez plutôt :

- endurance, efforts prolongés : course, vélo....

- force et résistance : musculation, tennis, altérophilie...

- Art et détente : danse, gym, yoga...

- précision : golf, escrime

- vie sociale : sports collectifs

- découverte : randonnée, cannyoning                                             

- performance : sports de combat, natation...

Vous avez trouvé votre bonheur ? Je suis sûre que oui ! Pour plus d'informations, rendez- vous en mairie !

Marlène Devin

Test : http://www.doctissimo.fr/test-nutrition-ALIMENTATION_EQUILIBREE.htm

Sources : http://www.mangerbouger.fr                                                             

panier_fruits                                  PNNS

11 mars 2009

Premiers pas à l'école

Une sacrée organisation

Enseigner en maternelle n'est pas de tout repos. En effet, le ou la professeur des écoles doit assumer de nombreuses responsabilités et faire preuve d'un grand sens de l'organisation. La tâche qui lui incombe est double : il ou elle doit non seulement prendre en compte les besoins premiers de ses élèves mais également leur faire acquérir ce que l'on appelle les fondamentaux. L'enseignant( e) est sans cesse amené(e ) à s'adapter à ses élèves en fonction de l'âge, de la personalité et des besoins individuels de chacun d'eux afin de satisfaire au mieux leurs attentes et celles de leurs familles.Activités collectives ou moments "libres" doivent être conciliés : l'enfant peut ainsi se construire et prendre conscience de son existence en tant que personne telle.Parents et enseignants doivent se faire confiance et se tenir informés des besoins d'un enfant tout comme de son évolution.L'école maternelle vise à favoriser l'autonomie de l'enfant tout en lui permettant de vivre ses premières expériences et ce par le biais de jeux, actions multiples, expériences sensibles Pour atteindre ses objectifs, tout enseignant se doit de travailler autour des cinq domaines principaux que sont l'acquisition du langage, la découverte du monde, l'art, la motricité et la vie en colllectivité. Croyez moi, c'est tout un programme !

A l'école, petit bout s'exprime

En franchissant pour la première fois la porte de son école, un enfant s'exprime encore trés mal. L'enseignant doit donc prendre la situation en main pour petit à petit le préparer à l'apprentissage de la lecture. Pour cela, il favorise les échanges verbaux au sein de sa classe pour aider le petit à s'exprimer devant des interlocuteurs autres que ses parents. Entre deux et trois ans, l'enfant comprendra des énoncés simples et parviendra à se faire comprendre de lui même. A trois ans, il appprendra à verbaliser ses actions et se familiarisera avec les grands thèmes de la vie en écoutant l'enseignant lui lire une histoire. A quatre ans, l'enfant prendra conscience des réalités sonores de sa langue maternelle, de la dimension utile du français écrit ( affiches, livres et autres ) et étudiera ainsi diverses oeuvres pour se forger une première culture littéraire. Enfin, il goûtera au plaisir de l'écriture ( graphisme ). A 5 ans, l'enfant entendra pour la première fois une langue différente de la sienne. Il saura ainsi que tout le monde possède sa propre façon de s'exprimer. Après trois ou quatre annes de maternelle, l'enfant devra être capable de  :

- Répondre à un interlocuteur ou prendre l'initiative d'un échange

- décrire une action, des personnages  ( moralement comme physiquement ) ou s'exprimer à partir d'illustrations

- Relater ses souvenirs ou anticiper une action

- Reformuler  et inventer

- comprendre et mémoriser des comptines

- Voir la dimension utile de la langue écrite

- Comprendre et respecter les consignes de l'enseignant

- Représenter un objet

- Reconnaître une lettre, son prénom

- Ecrire son prénom,  une syllabe,  un mot, une ligne

- Représenter ou découper une séquence rythmique

- Reconnaître une assonance, une rime

Ecole maternelle ou école de la vie

En entrant à l'école maternelle, l'enfant va pour la première fois quitter ses parents et faire de nouvelles rencontres.Il connaîtra alors les contraintes et exigences de la vie de groupe, devra apprendre à échanger et coopérer, obéir à de toutes nouvelles rêgles  ( respect, partage, politesse... ) ou rituels ( météo, calendrier )  Il finira par trouver sa place et identifiera clairement le rôle de chaque adulte présent. En plus d'aider les prents à leur éinculquer ses nouvelles valeurs, l'enseignant devra acceuillir les enfants et leur présenter les nouveaux locaux. Tout enseignant fait donc un peu de social. Il ne faut pas non plus oublier que l'arrivée d'élèves étrangers rime avec formalités administratives. Quel travail  !

A l'école, je découvre mon corps

Jusqu'à l'âge de sept ans environ, l'enfant explore son propre corps et l'utilise comme principal moyen d'expression. L'enseignant est tenu de le favoriser avec différents déplacements ( courrir, marcher, sauter...) et différentes manipulations ( lancer, tirer, pousser....). L'enfant devra appprende à lancer et receptionner un objet. Il retrouvera toutes ces actions dans la vie quotidienne. Il apprendra à prendre soin de son corps, être bien dans son corps et dans sa tête. Il devra entrer au cours préparatoire en sachant communiquer les émotions que lui procurent certaines activités physiques, "mesurer", utiliser diffénts objets, intégrer une équipe ou affronter un adversaire. ( jeux de lutte,relais... )

Attention, petit bout débarque !

Les petits bouts de chou débarquent dans un monde qu'il apprendront à découvrir à l'école. ils découvriront les formes, couleurs, matières, annimaux, végétaux, milieux naturels. Ils prendront conscience de leurs  cinq sens, de certaines rêgles d'hygiène  et de scurité, certains risques à ne pas prendre ( sur la route entre autres ). Ils veront le temps passer et découvriront l'espace dans lequel ils évoluent. Enfin,ils découvriront pour la première fois les nombres et quantités. En fin de cycle, chaque enfant devra être capable de :

- utiliser ses cinq sens à bon escient

- Comparer, classer, sérier....

- Se repérer dans le temps et dans l'espace

- Partager, compter, distribuer ( trente à l'oral )

- Construire

- Ordonner les choses et repérer certaines grandes étapes de la vie.

- Utiliser diffrents outils

- Repérer une situation anormale

Elèves de maternelle et artistes en herbe                                        Maternelle_2

Les élèves devront être familiarisés avec les techniques de dessin. Ils travaillleront aussi pour prendre conscience de leur voix et être les plus expressifs possible. L'art devra être perçu par les petits écoliers comme un nouveau moyen d'expression, source de bien des créations. Au cours des trois ou quatre premières années de sa scolarité, l'enfant aura donc acquis une crtaine méthodologie. L'enseignant est tenu d'évaluer régulièrement ses connaissances.

Et vous, vous en pensez quoi de l'école maternelle? Est-elle utile, efficace, en voie de disparition? Où s'arrête le rôle des parents?Où poser les limites ?Exprimez vous !

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Sources : http://www.education.gouv.fr/bo/2002/hs1/maternelle.htm

Marlène Devin

9 mars 2009

Pauvres détenus !

En France, les conditions de vie des détenus sont déplorables, la situation est on ne peut plus alarmante.Il est grand temps de réagir ! Lisez plutôt, vous m'en direz des nouvelles !

Désolé, c'est complet !

Il vous est certes déjà arrivé de franchir le seuil d'un restaurant et de devoir rebrousser chemin faute de place. Le personel des établissements pénitentiaires Français ne peut malheureusement pas réagir de la même façon. Résultat : les détenus sont contraints de s'entasser dans de bien étroites cellules. La cohabitation n'est donc pas chose facile. De plus, les détenus cohabitent sans pour autant avoir commis le même crime ou délit : un scandale peut donc éclater à tout moment et toutes sortes de maladies peuvent donc circuler telle une lettre à la poste. Soyez vigilants !

Au secours, je me sens seul !

La surpopulation des établissements pénitentiaires francais entraîne un manque de moyens considérables, tant humains que matériels. La prise en charge de détenus à la santé fragile devient donc difficile et parfois même impossible. De plus, les heures de visite sont restreintes et toute entrevue est surveillée. Il est donc difficile d'avoir un moment d'intimité. Une entrevue dure en moyenne entre trente et quarante cinq minutes. Mais le temps passe si vite......A peine le temps d'échanger quelques mots, recevoir un message de soutien ou prendre des nouvelles de la famille. Ne parvenant pas à vivre loin de leurs proches, bon nombre de détenus choisissent d'abréger leurs souffrances en se donnant la mort....Que de vies gâchées !

Quelques bonnes initiatives

Le personel des établissements pénitentiaires français est tenu de réinsérer ses détenus et donc de les former un minimum.C'est pourquoi divers ateliers ( écrituere, musique, théatre, lecture ) leur sont proposés. Mais dans les faits, seule une partie des détenus peut prendre part à ces activités de groupe. Ne pouvons nous pas aller encore plus loin?

Comme vous avez pu le constater, un séjour en proson est loin d'être agréable. C'erst pourquoi j'espère que la lecture du présent article parviendra à calmer bon nombre d'esprits mal intentionés et réduira de ce fait le nombre de délinquants juvéniles.

Et vous, vous en pensez quoi ?

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Sources : http://www.wikipedia.org

Marlène Devin

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